1 Un intrus ! Dim 27 Fév - 18:42
Papillon
...Solitaire
Nuage Bleuté
...Apprenti(e)
[Par : Papillon]
"Derrière une ferme de bipède, aux confins des terres du clan de la Rivière, un immense cognassier pousse. Pendant un moment, il fut beaucoup escaladé par un jeune bipède à la peau dorée, aujourd'hui, c'est le territoire d'un chat, un seul."
Ces mots m'étaient venus spontanément, lorsque, assis à la table de la salle à manger de mon ancien chez-moi, j'expliquais à mes parents que j'avais trouvé un bon boulo dans la grande ville et que j'allais vivre là-bas désormais.
Bien sûr, ces mots (des mots de chat), je les avaient gardés pour moi, par contre, ils m'avaient semblés tellement véridiques que, sitôt retransphormé, j'étais allé marqué mon nouveau territoire : le grand cogniassier (et ses environs).
La transphormation... n'était plus aussi insuportable qu'à la première fois, où je n'avais pu retenir mes hurlements. Ou peut être étais-ce moi qui m'endurcissait ?
Laissant là ces stériles réflexions, je grimpai sur une première branche, puis sur une seconde pour arriver jusqu'à deux branches illuminées par le soleil. Elles étaient assez larges pour que j'y fasse ma sièste, puis j'enchainerais avec deux entrainements : un sous ma forme humaine, puis un autre sous ma forme féline.
J'allais me lover sur la première branche lorsque j'entrevis du coin de l'oeil un mouvement, à l'orée de la clairière. Puis une odeur : un chat inconnu. Immédiatement toutes griffes dehors, je sautai en bas de l'abre et lançai :
- Qui va là ? Je suis Papillon et je le somme de quitter mon territoire ou sinon de me donner une bonne raison de ne pas le réduire en lambeaux !
"Derrière une ferme de bipède, aux confins des terres du clan de la Rivière, un immense cognassier pousse. Pendant un moment, il fut beaucoup escaladé par un jeune bipède à la peau dorée, aujourd'hui, c'est le territoire d'un chat, un seul."
Ces mots m'étaient venus spontanément, lorsque, assis à la table de la salle à manger de mon ancien chez-moi, j'expliquais à mes parents que j'avais trouvé un bon boulo dans la grande ville et que j'allais vivre là-bas désormais.
Bien sûr, ces mots (des mots de chat), je les avaient gardés pour moi, par contre, ils m'avaient semblés tellement véridiques que, sitôt retransphormé, j'étais allé marqué mon nouveau territoire : le grand cogniassier (et ses environs).
La transphormation... n'était plus aussi insuportable qu'à la première fois, où je n'avais pu retenir mes hurlements. Ou peut être étais-ce moi qui m'endurcissait ?
Laissant là ces stériles réflexions, je grimpai sur une première branche, puis sur une seconde pour arriver jusqu'à deux branches illuminées par le soleil. Elles étaient assez larges pour que j'y fasse ma sièste, puis j'enchainerais avec deux entrainements : un sous ma forme humaine, puis un autre sous ma forme féline.
J'allais me lover sur la première branche lorsque j'entrevis du coin de l'oeil un mouvement, à l'orée de la clairière. Puis une odeur : un chat inconnu. Immédiatement toutes griffes dehors, je sautai en bas de l'abre et lançai :
- Qui va là ? Je suis Papillon et je le somme de quitter mon territoire ou sinon de me donner une bonne raison de ne pas le réduire en lambeaux !